Ces maladies sont toujours d’actualité avec une nette recrudescence chez les personnes infectées par le VIH en raison des comportements à risque. L’immunodépression des patients les rend plus vulnérables, les IST (infections sexuellement transmissibles) sont plus sévères. Le meilleur moyen de s’en protéger passe par la prévention. Les troubles vulvaires et vaginaux, tels que la sécheresse, la sensation de brûlure, ou l’incontinence urinaire, peuvent survenir durant la péri-ménopause, la ménopause installée ou après l’accouchement. Des douleurs sur les cicatrice d'épisiotomie ou de cicatrice vaginale peuvent également être très invalidantes. Ces troubles peuvent avoir de nombreuses répercussions sur la qualité de vie et la relation de couple... Peu de femmes osent en parler, alors que des solutions récentes existent pour retrouver une vie quotidienne et sexuelle satisfaisante: supplémentation en flore vaginale, injection d'acide hyaluronique, laser vaginal... La pilule, comme l'anneau ou le patch, est une contraception oestroprogestative. Lorsqu'elle est bien prise, c'est un moyen de contraception efficace à près de 100 %, mais elle ne protége pas contre les infections sexuellement transmissibles comme l'hépatite B ou le VIH/sida. Le choix d’une contraception après l’accouchement s’envisage dès la préparation à l’accouchement et durant le séjour à la maternité pour éviter d’agrandir la famille trop vite, car l’ovulation réapparait en quelques semaines. Oublis de pilule, problèmes de préservatif, ou rapport non protégé en général, posent la question d’une contraception d’urgence ou pilule du lendemain plutôt que le recours à une interruption volontaire de grossesse. Cette méthode est efficace mais attention : elle n’est pas sûre à 100 %. La maladie et ses traitements peuvent avoir un impact sur la sexualité. Cela est différent chez l’homme et chez la femme. |
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Septembre 2018
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